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Commerces 4.0

En vertu d'une convention signée entre l'Etat de Genève et la CCIG, les commerces qui n’ont pas les ressources pour organiser eux-mêmes la vente en ligne de leurs produits pourront bénéficier d’une adhésion gratuite à la plateforme GenèveAvenue jusqu’à la fin de l’année 2021. Cette page a pour but de présenter le cadre de la convention ainsi que de relayer les derniers développements dans le domaine du commerce 4.0.

 

La convention


Un soutien extraordinaire

Le Département du développement économique (DDE) a sollicité la CCIG pour informer les commerçants et encadrer les relations contractuelles qu’ils concluront dans le cadre de cette opération de commerce en ligne. Cette convention s’inscrit dans le cadre du soutien extraordinaire aux commerces annoncé par le Conseil d’Etat le 11 novembre 2020.

Des commerces 4.0.

Les commerçants qui ne disposent pas encore de plateforme de vente en ligne bénéficieront d’une mise en ligne gratuite de leurs produits, photographiés et décrits, et d’un abonnement, lui aussi gratuit jusqu’au 31 décembre 2021, sur la plateforme GenèveAvenue. Le DDE consacre une enveloppe de 100 000 francs au minimum pour cette opération.

Les commerçants intéressés sont invités à contacter GenèveAvenue par email pour demander leur adhésion gratuite à la plateforme.

L’offre comprend :

  • l’inscription ainsi que l’abonnement mensuel jusqu’à fin 2021
  • l’accompagnement par GenèveAvenue dans la procédure d’inscription avec la mise en ligne des photos des marchandises et produits proposés, l’inventaire et la description de ces marchandises et produits
  • les photos des 50 premiers articles lors de leur intégration.

Engagements

Les commerçants souhaitant bénéficier de la convention et s'inscrire sur la plateforme GenèveAvenue s’engagent à respecter les mesures d’hygiène édictées par l’Office fédéral de la santé publique et les dispositions des Conventions collectives de travail, des contrats type de travail et des Usages applicables à leur domaine d’activité, dont le contrôle est du ressort de l’Office cantonal de l’inspection et des relations du travail (OCIRT) ou de l’inspection paritaire des entreprises.